En 2025, Scroll a accompagné presque 60 clients sur une petite centaine de projets. Des apps, des apps métier, des sites web, et tout ce qui relie ces mondes : l’automatisation, la donnée, les contenus, la conversion.
Cet article n’est pas une vitrine. Tu vas comprendre ce qu’on a livré, avec quelles briques, pourquoi on les utilise, et ce que ça change quand tu es une PME, une TPE ou un entrepreneur qui doit avancer vite sans bricoler.
Les points clés de la rétrospective Agence Scroll 2025
Scroll a livré près de 100 projets en 2025 avec une logique simple : réduire les délais, fiabiliser la donnée, et garder une expérience utilisateur propre.
Les stacks les plus fréquentes combine Plasmic, Supabase, n8n, Directus et Webflow, parce qu’elle couvre la majorité des besoins : acquisition, contenu, authentification, back-office, et automatisations.
Les projets qui reviennent le plus sont les sites qui convertissent, les portails clients, les apps métier internes, les back-offices, et les intégrations entre outils.
Le facteur qui fait gagner le plus de temps n’est pas “aller vite”, c’est décider vite sur un périmètre clair, puis livrer en cycles courts.
Le principal risque quand tu lances un projet web ou app, ce n’est pas la techno. C’est l’empilement de petites décisions floues qui deviennent un gros problème six mois plus tard. En 2025, on a surtout travaillé à éviter ça.
Ce que recouvre vraiment “près de 100 projets” en 2025
Quand on dit “près de 100 projets”, on ne parle pas de 100 gros chantiers identiques. En réalité, une année de delivery solide ressemble à un portefeuille de formats différents.
Il y a des créations complètes : un nouveau site, une nouvelle app, un nouvel espace client.
Il y a des extensions : ajout de modules, passage multi-rôles, ajout d’un back-office, ajout d’un CMS, ajout d’un paiement, ajout d’un parcours de demande ou de validation.
Il y a des refontes utiles : pas une refonte esthétique, mais une refonte qui simplifie le contenu, clarifie l’offre, corrige les performances, ou améliore le taux de conversion.
Il y a aussi du run intelligent : optimiser ce qui tourne déjà, fiabiliser les automatisations, améliorer le suivi des événements, consolider les données, et réduire les opérations manuelles.
Ce mix explique un point important : une agence qui tient une cadence élevée ne fait pas “plus vite” par magie. Elle industrialise ce qui peut l’être, sans rendre les projets rigides.
Les typologies qui ont le plus compté chez Scroll en 2025
Sites web orientés conversion
On a livré beaucoup de sites, parce que c’est souvent la première brique visible. Mais un bon site ne se limite pas à une page propre. Il sert à une action claire : générer des demandes, qualifier, et nourrir un pipeline.
En 2025, un site efficace ressemble à ça : une proposition de valeur explicite en haut de page, des preuves tôt, un parcours de lecture simple, un système de contenu qui permet de publier sans casser le design, et un suivi propre pour mesurer.
C’est pour ce type de projet que Webflow reste très fort, parce que l’équipe marketing peut itérer, le rendu est net, et le time-to-live est court. Quand la partie “app” arrive, le site peut rester sur Webflow, pendant que le produit évolue ailleurs.
Apps et portails clients
L’autre grosse famille, ce sont les apps, souvent côté client : espace de suivi, documents, demandes, tickets, onboarding, ou gestion d’abonnement.
La difficulté ici n’est pas l’interface. La vraie difficulté, c’est l’identité et la donnée. Qui se connecte, à quoi il a droit, et comment on organise les informations.
C’est là que le duo Plasmic + Supabase devient très efficace. Plasmic permet d’assembler des interfaces modernes avec une logique de composants, et Supabase apporte une base solide pour l’authentification, la base de données, le stockage et des règles d’accès cohérentes.
Apps métier internes
Les apps métier sont souvent le meilleur levier de rentabilité pour une PME. Elles réduisent les frictions internes : saisies multiples, validations par email, fichiers partagés mal tenus, reporting bricolé, opérations répétitives.
En 2025, on a vu revenir des besoins très similaires : gestion de demandes, workflows de validation, gestion de ressources, suivi de production, opérations commerciales, ou gestion de support.
Un projet d’app métier réussit quand il s’appuie sur le flux réel de l’équipe. Pas sur un organigramme théorique. C’est pour ça que le cadrage est si important. On doit comprendre le “chemin” d’une demande, d’un dossier, ou d’un client, puis construire autour.
Back-office et gestion de contenu
Dès que le contenu devient un sujet, il faut une gouvernance. Pas forcément lourde, mais claire : qui peut publier, qui valide, quelles structures, et comment on évite de casser le site ou l’app.
Directus répond très bien à ce besoin quand tu veux un back-office propre, des rôles, des modèles de contenu, et une base qui ne se transforme pas en chaos.
On l’a souvent utilisé comme une couche de gestion, connectée à un front en Plasmic ou à un site, pour séparer correctement “édition” et “affichage”. Ça évite les bricolages. Et ça évite aussi que chaque modification coûte une intervention technique.
Automatisations et intégrations
Une bonne partie de la valeur livrée en 2025 est invisible. Elle se trouve dans les automatisations.
n8n est souvent la pièce qui relie tout. CRM, email, support, facturation, bases, enrichissement, notifications, et synchronisations. Si tu ne fais pas ce travail, ton équipe paie la dette au quotidien.
Le point clé, c’est que l’automatisation n’est pas un bonus. C’est une façon de réduire le coût opérationnel d’un projet, dès les premières versions. Mais ça doit être fait proprement, avec des logs, des alertes, des reprises en cas d’échec, et des règles claires.
Pourquoi ces stacks reviennent autant : Webflow, Plasmic, Supabase, Directus, n8n
La rétrospective Agence Scroll 2025 est aussi une histoire de choix d’outils. Pas parce qu’on aime les outils. Parce qu’ils correspondent à des contraintes réelles.
Webflow : vitesse et clarté pour le marketing
Webflow est excellent quand le site doit bouger souvent. Pages de vente, landing pages, refontes d’offre, publication, A/B tests légers, itérations sur la hiérarchie.
C’est aussi un outil qui aide à garder une qualité de rendu stable. Donc moins de détails qui cassent sur mobile, moins de surprises, et moins de retouches interminables.
Plasmic : une interface d’app qui reste maintenable
Plasmic est intéressant quand tu veux une interface d’app riche, avec des composants réutilisables, et une capacité à évoluer vite.
Sur des projets de portail client ou d’app métier, il permet de garder un niveau de finition élevé, tout en restant flexible. C’est important parce qu’une app évolue. Et si chaque évolution est un chantier, tu perds l’avantage du “vite et bien”.
Supabase : un backend pragmatique pour authentification et données
Supabase apporte un socle solide pour la plupart des apps de PME : authentification, base PostgreSQL, stockage, et logique de sécurité.
Le gros sujet, c’est la cohérence des droits. Qui peut lire, écrire, modifier, supprimer. C’est souvent ce qui fait ou défait un projet. Quand c’est bien posé, tout le reste devient plus simple.
Directus : gouvernance du contenu et back-office clair
Directus est utile dès qu’il y a plusieurs personnes qui gèrent du contenu, ou dès qu’on veut un back-office propre.
C’est aussi très pratique quand tu veux éviter que des modifications de contenu deviennent des modifications de code. Le marketing gagne en autonomie, et le produit reste stable.
n8n : l’industrialisation des opérations
n8n, c’est la couche qui évite les copier-coller et les workflows cachés dans des boîtes mail.
Synchronisation, enrichissement, génération de documents, notifications, alertes, routage, mises à jour de CRM, suivi d’événements. Quand c’est bien conçu, ça fait gagner beaucoup de temps. Et ça réduit les erreurs humaines.
Les combinaisons qui reviennent le plus, et ce qu’elles permettent
Au lieu de parler d’outils séparés, il est plus utile de parler de combinaisons. En 2025, certaines associations reviennent souvent parce qu’elles couvrent des besoins complets.
Site Webflow + automatisations n8n
C’est un classique quand l’objectif est de convertir et de qualifier. Le site collecte. n8n route, enrichit, notifie, et met à jour les outils internes. Résultat : moins de délais entre “lead” et “action”.
Portail client Plasmic + Supabase
Quand il y a une connexion, des données, des documents, et des rôles, ce duo est très efficace. Il permet de livrer une V1 utile, puis de faire évoluer l’expérience sans repartir de zéro.
Contenu Directus + front Plasmic ou site
Dès que le contenu se multiplie, on veut un back-office clair. Directus gère les modèles, les rôles, les validations. Le front affiche. Le système tient mieux dans le temps.
Tout connecter avec n8n
La plupart des entreprises ont plusieurs outils. Le vrai enjeu est de les faire travailler ensemble sans que l’équipe devienne “l’intégration humaine”.
n8n devient alors une colonne vertébrale : des workflows visibles, versionnables, avec des garde-fous.
Ce qu’on a appris en 2025 sur la cadence et la qualité
Livrer près de 100 projets dans l’année oblige à être discipliné. Pas dans le sens “process lourd”. Dans le sens “décisions claires et répétables”.
La vitesse vient du cadrage, pas du sprint
Quand un projet dérape, on accuse souvent l’exécution. En réalité, la cause est souvent en amont : objectifs flous, périmètre mouvant, données mal définies, ou rôles mal compris.
En 2025, le cadrage qui marche tient en peu de choses : une cible claire, un résultat attendu, une V1 réaliste, un modèle de données simple, et des règles d’accès posées tôt.
Quand ces points sont alignés, on peut livrer vite et itérer sans stress.
Les droits et les rôles sont le point dur le plus sous-estimé
Sur les apps et les portails, le sujet “rôles et permissions” arrive toujours. La question n’est pas de savoir si ça arrive. La question est de savoir quand on s’en occupe.
Quand c’est traité trop tard, ça coûte cher. Il faut reprendre des écrans, des requêtes, des parcours. Et parfois, il faut changer la structure des données.
Quand c’est traité tôt, c’est un accélérateur. Tout devient plus stable.
Une automatisation sans supervision, c’est une dette
Automatiser, c’est bien. Mais une automatisation qui échoue sans alerte, c’est un problème silencieux.
En 2025, on a renforcé une logique simple : une automatisation doit avoir une trace, un moyen de reprise, et un signal en cas d’échec. Sinon, tu découvres le bug au pire moment, souvent via un client.
Les contenus doivent être pensés comme un système
Quand un site ou une app grandit, le contenu grandit aussi. Pages, cas d’usage, FAQ, ressources, documents, templates, politiques, contenus privés.
Si le contenu n’a pas de structure, il devient un chantier permanent. Directus est souvent une réponse, mais au-delà de l’outil, c’est surtout une discipline : modèles, validation, et propriété claire.
Ce que 2025 confirme pour Scroll, et ce que ça ouvre pour la suite
Cette rétrospective Agence Scroll 2025 confirme une chose simple : la valeur ne vient pas d’un outil miracle. Elle vient d’un socle clair, d’une exécution en cycles courts, et d’une stack cohérente qui tient dans le temps.
Quand une PME ou un entrepreneur veut avancer vite, l’enjeu n’est pas seulement de livrer une V1. L’enjeu est de livrer un système qui peut évoluer, se connecter aux outils existants, et rester maintenable au fil des itérations.
En 2026, Scroll continue dans cette direction : cadrage net, delivery rapide, interfaces propres, et automatisations robustes. Si tu veux transformer une intention en produit ou en site qui performe sans perdre des mois en allers-retours, nos services couvrent précisément ces sujets, de la phase de cadrage jusqu’au run et à l’industrialisation.
Faq
Elles couvrent une grande partie des besoins d’une PME. Mais le bon choix dépend surtout du contexte : nombre d’utilisateurs, sensibilité des données, exigences de conformité, et niveau de personnalisation attendu.
Dans la réduction des tâches manuelles répétitives, et dans la fiabilité des passages de relais entre outils. Un lead, une demande, un paiement, un support. Tout ce qui circule peut être orchestré.
Parce qu’un système de contenu ou d’administration évolue en permanence. Un back-office clair évite que chaque ajustement passe par une intervention technique et réduit la friction interne.






